Reiki et Lahochi : deux techniques de soins énergétiques
Comment choisir entre se former au Reiki ou au Lahochi ?
Depuis quelques temps vous entendez de plus en plus parler de cette nouvelle technique de soin énergétique appelée Lahochi et cela vous intrigue. Vous envisagez de vous former au Reiki, ou vous le pratiquez déjà et vous vous demandez quelle est la différence ? quelle est la meilleure méthode ? Le Reiki est-il devenu desuet ?
Je vous propose dans cet article de vous exposer un comparatif entre ces deux méthodes et vous faire part de mes ressentis. Bien entendu, ceux-ci sont très personnels, mais pourront peut-être vous aider à y voir plus clair.
Tout d’abord le Reiki et le Lahochi sont toutes les deux des techniques de soin énergétique par imposition des mains, dans lesquelles le praticien se fait canal de l’énergie de guérison ; c’est à dire qu’il ne donne pas son énergie, il est un intermédiaire entre l’énergie du ciel et le receveur. Cette disposition est mise en œuvre par ce que l’on appelle « la connexion » dans le Reiki ou « le sceau de protection » dans le Lahochi.
Reiki et Lahochi : deux techniques qui ont 70 ans d’écart
Ces deux techniques, vieilles de milliers d’années ont été redécouvertes au 20ème siècle par canalisation. Le Reiki en 1920 par le moine bouddhiste japonais Mikao Usui et le Lahochi en 1991, par le maître spirituel américain Satchamar.
Elles sont donc réapparues dans deux contextes temporels et culturels différents.
Entre 1920 et 1991 le taux vibratoire de la Terre a beaucoup augmenté. Tout va plus vite et de plus en plus de personnes ressentent les énergies subtiles.
En recevant la connexion à la fréquence Lahochi, Satchamar a reçu également l’information que cette méthode de guérison devait être diffusée au plus grand nombre de personnes. C’est certainement la raison pour laquelle il a construit une méthode simple et rapide à apprendre.
La fréquence de guérison a été canalisée par deux personnes vivant dans des milieux très différents. De ce fait, chacune de ces pratiques évoluent dans un environnement culturel et cultuel propre au pays dans lesquelles elles sont apparues. Même si en Europe il n’est pas nécessaire de pratiquer le bouddhisme pour faire du Reiki, en nous formant à cette technique nous profitons de toute la richesse de cette culture (concepts philosophiques, méditations, kotodamas, symboles), qui n’existent pas dans le Lahochi. En parallèle, né aux USA, le Lahochi est emprunt de croyances et de vocabulaire chrétiens. Satchamar affirme que cette fréquence nous connecte au monde angélique.
Deux techniques similaires et en même temps différentes dans leurs pratiques
Alors que le Reiki foisonne de positions des mains, de petites techniques supplémentaires (que l’on retrouve d’ailleurs dans les techniques de magnétisme), de symboles (mantras) qui donnent de la force au soin, le Lahochi, lui, est très épuré. A part le sceau de protection, qui est une prière assez longue, la technique en elle-même ne comprend que 5 positions des mains et ne nécessite aucun mantra, ni invocation particulière. C’est la raison pour laquelle elle est très simple et rapide à apprendre. L’avantage d’être initié au Reiki avant de se former au Lahochi est que nous pouvons utiliser toutes les techniques supplémentaires du Reiki dans un soin Lahochi. Elles sont tout à fait transposables.
Le Reiki demande du temps, de la maturation, et se décline sur 4 niveaux (le 4ème niveau étant celui de l’enseignant). Le 3ème niveau propose d’explorer différentes techniques de méditation ; c’est un excellent outil de développement personnel. Le Lahochi ne s’apprend qu’en une journée car le but de Satchamar était de le diffuser le plus rapidement et largement possible. C’est sans aucun doute trop rapide pour des néophites, qui ne sont pas encore dans une démarche de développement personnel, d’autant qu’à la fin de cette journée de formation, l’élève peut, à son tour, former d’autres personnes.
Les effets du Reiki et du Lahochi
Les effets du Reiki et du Lahochi sont assez similaires, même si beaucoup de personnes prétendent que le Lahochi est plus puissant. Mon ressenti est que le Reiki agit sur les maux physiques et émotionnels (donc très terrestres), tandis que le Lahochi va davantage agir sur l’ouverture spirituelle et la connexion à sa vérité intérieure (conscience supérieure, âme). Le SAT NAM comme disent les indiens.
On dit que les personnes qui pratiquent le Reiki ne sont pas suffisamment protégées. Je pense que cela était vrai il y a quelques années mais aujourd’hui un bon enseignant de Reiki transmet les techniques permettant de bien se protéger. Avec son sceau de protection, le Lahochi promet une protection totale contre les « pollutions énergétiques ». Cependant, j’enseigne les mêmes techniques supplémentaires de protection dans mes formations de Reiki et de Lahochi. La vie, les relations, sont des terrains propices aux pollutions. Il est donc essentiel de savoir se protéger en toute circonstance, y compris en dehors des soins.
Pour conclure je vous invite à laisser parler votre cœur. Si vous êtes dans une démarche de développement personnel et que vous n’êtes pas habitué aux soins énergétiques, le Reiki vous conviendra. A condition, bien sur, d’accepter son univers culturel.
Si vous êtes un praticien aguerri de techniques de magnétisme, de méditation (etc.) et que vous pensez vous connaître, le Lahochi peut vous convenir. Ou simplement parce qu’il est teinté de culture chrétienne, à laquelle vous êtes attaché.
Choisissez le soin qui vous appelle et venez vous formez avec moi en Normandie, à Ouistreham !
Retrouvez toutes les informations sur mes formations en cliquant sur les boutons :